Rocker repenti, Tēo réconcilie la fougue et la tendresse. Ses textes s’épanouissent dans une nostalgie vicérale au son d’une guitare parfois douce tantôt sauvage. Il porte une inspiration à mi-chemin entre les Beatles, Bashung, Souchon, Jeff Buckley et Cyrano de Bergerac.
Bercé de dessin, d’escrime et de romance, Teo apprend la guitare en autodidacte vers 15 ans. Commence alors un ménage à trois de ses études, des guitar heroes foudroyants et de ballades amoureuses. Diplôme en poche, il se fraie un chemin depuis les bars du Quartier Latin jusqu’aux Studios Ferber, où il enregistre ses premières démos. Remarqué pour sa plume et son plaisir de
la scène, il est recruté par l’équipe de Francis Cabrel à Astaffort, les Anges de la Sacem et par l’Hôtel de Crillon. Théo enchaîne depuis lors concerts et voyages. Du Brésil aux Landes en passant par l’Opéra Garnier, l’Afrique du Sud et Abidjan, ceux-ci donnent le ton à un 1er album en cours de réalisation par Antoine Essertier (Vianney, Soha, Daran).